Monde (Afrique, Asie, …)    

Mots-clés : voyages, Mali, Bangladesh, Niger, Sénégal, Guinée, Inde, Mékong, risques et réfugiés climatiques

Activités pédagogiques et culturelles

  • Documentaire « le Bangladesh face aux risques climatiques », janvier 2016
  • Diaporama-conférence en classe « Eau et Environnements au Sahel »  (Mali, Sénégal, Guinée, Burkina Faso) avec un médiateur de Terre & Océan, spécialiste de l’Afrique de l’Ouest
  • Atelier de Bogolan avec Moussa Ouattara, artiste burkinabé www.asfede.com
  • Documentaire « Un fleuve nommé Niger », de Bernard Surrugue, IRD, 2008-2015  http://www.audiovisuel.ird.fr/index.php?urlaction=doc&id_doc=10018
  • Documentaires « Mékong : barrages, climat et biodiversité », janvier 2017; « Le delta des 9 dragons », février 2019
  • « Inde, pays des rivières sacrées et des tensions autour de l’eau », 2018

Correspondances collectives (classes, écoles) et individuelle avec des enfants des pays d’Afrique (Mali, Burkina Faso, Sénégal, Cameroun, Maroc, Guinée, …) ou d’Asie (Bangladesh, Inde, Cambodge, Laos, Vietnam, …) autour des thèmes de l’eau, des fleuves, du climat, du quotidien … Les voyages culturels peuvent être les supports de ces échanges (Mali).

Diaporamas en classe « Eau, Environnements et Cultures »

 

DSC_0987« Voyage sur le delta intérieur du fleuve Niger  (Mali) »

3ème fleuve d’Afrique, le Niger a un parcours et une histoire climatique extraordinaire. Prenant sa source en Guinée, « Djoliba » traverse le Mali sur 1700 km, puis bifurque vers le Sud vers le Niger et le Nigeria. Lors de cette traversée, il se dissocie en de multiples bras, constituant ainsi un très riche delta intérieur. Il y traverse le Sahel jusqu’aux portes du Sahara et y perd la moitié de son débit. 4 fois plus vaste il y a 4 000 ans, quel est l’avenir de ce fleuve et de ses populations ?  Je vous propose un voyage en images de Bamako à Tombouctou au fil d’un grand fleuve aux frontières avancées du réchauffement climatique. »

« Tombouctou (Mali), la mystérieuse »

Du puits initial du campement de Bouctou aux révoltes touaregs contemporaines, Tombouctou a vécu, a été meurtrie, et vit encore aujourd’hui sous l’influence des fluctuations climatiques provoquant les déplacements des centres d’intérêts commerciaux et des populations de l’Afrique de l’ouest. Longtemps inaccessible pour les européens, Tombouctou a nourri tous les fantasmes et motivé aventuriers.

« Pays Dogon (Mali) : les vivants et les morts »

Au sud-est du Mali, vit un peuple de « réfugiés » religieux et/climatique, les dogons. Peuples de cultivateurs, leurs villages se répartissent dans les plaines de savane, les plateaux ou les éboulis de la fameuse falaise de Bandiagara. Ces derniers sont les plus spectaculaires, tant leur intégration au paysage est d’une grande discrétion. Ces villages s’appuient sur blocs et parois de grés et calcaires, parfois loin des points d’eau vitaux. Dans cet environnement immuable, les dogons perpétuent leurs traditions et leurs rituels, en fonction de cycles de vies et … de morts. Profitant si possible de la présence d’Idrissa Balam, guide en pays dogon et qui accompagne les voyages d’Océan, nous vous parlerons de cette région d’Afrique qui fascine et intrigue les Africains eux mêmes.

DSC_0659« Sénégal, l’autre pays des pirogues »

Au Nord, un fleuve frontière, aménagé et partagé avec les pays de l’amont, au centre les mangroves et les îles du Siné Saloum et plus au Sud la Gambie et la Casamance (non abordés ici), soit quatre grands exutoires du territoire sénégalais. Sur l’ensemble de la côte, une histoire coloniale très incrustée, tel est le Sénégal, Sahel océanique, où l’élévation du niveau marin se marque par l’érosion littorale et la salinisation des terres et des nappes d’eau. Je vous présenterai un reportage autour des fleuves Sénégal et Siné Saloum, un simple témoignage en guise d’invitation à un éventuel circuit culturel.

« Vert comme la Guinée »DSC_0641

Aux sources des grands et moins grands fleuves d’Afrique de l’Ouest, se trouve un pays ou la pluie est reine, ou les sols sont épais et productifs : la Guinée et plus précisément le Fouta Djallon. Le Fouta, terre des Djallonkés puis des peuls qui y firent éclore la première constitution mondiale à la fin du 18ème siècle. Le Fouta, terre haute et fracturée qui abdiqua finalement devant la colonisation française. Le Fouta au cœur d’un pays multiple et fragile partagée par ses peuples divers (malinké, soussous, peuls, etc…) qui la première arracha son indépendance … au prix fort. Le Fouta, terre de la nature et des naturalistes. Je vous propose une courte escapade en Guinée, pays quadruple, fait d’Atlantique et de forêt, de montagne et de savane. Un tour en image aujourd’hui et peut-être grandeur réelle demain.

« Environnements et cultures du Burkina Faso »

Au « pays des hommes intègres », cultures et natures sont liées, à l’image du bogolan où la terre et les extraits d’écorce servent de bases picturales appliquées sur les tissus de coton local. Le Burkina Faso (ex Haute Volta) est un fier pays, par son histoire, ses cultures et ses paysages. De Dori à Banfora, du balafon au bogolan, des sénoufos aux mossis, ce pays inséré au cœur de l’Afrique de l’Ouest rèvèle son authenticité et ses préoccupations d’aujourd’hui et de demain.